Mylène est aussi joueuse et coquine que moi, question sexe, fantasmes et fétichismes, elle est finalement moins timide que je le suis. Sa curiosité pour ces choses là est si grande qu’elle éprouve le besoin de tester tout ce qu’elle ne connaît pas, ou presque.

De fait, nous avons testé pas mal de choses pour nous deux quand cela est possible, comme le sexe anal, l’uro, le BDSM, la fessée, la chasteté, un peu le libertinage qui ne nous a pas vraiment amusé ainsi que l’ABDL qui n’a amusé que moi. Pour la double pénétration, j’avais mis notre gode ceinture pour faire le deuxième partenaire. Ce jour là elle m’a dit que dans ses fantasmes, elle aimerait essayer un jour avec trois bites pour en sucer une pendant que les autres.... Passons.

Nous ne pratiquons pas le Free use mais presque, car lorsque l’un de nous a des envies de sexe, il le dit carrément et si l’autre n’est pas en état pour cause de grande fatigue, la masturbation n’est pas cachée, bien au contraire, elle est partagée.

La cage de chasteté est entrée dans notre maison par jeu, Mylène avait lu et vu des trucs sur Fessestivites qui l’avait bien excitée. Au début, j’avoue que lui confier les clés et la gestion de mon sexe m’a bien amusé, mais ça, c’était sur de courtes durées. Le maximum qui nous avions fait était une semaine pendant nos vacances. Ma très « méchante » keyholder en a bien profité dans le sens où comme elle aime ma poupée de chair, elle tripotait très régulièrement mon sexe. Autant dire que dans ma cage de chasteté, la crise du logement se faisait sentir.

Quand je dis qu’elle en a bien profité, cela signifie que, comme je ne pouvais pas la pénétrer, j’ai du lui brouter le minou tous les jours et même d’accepter de jouer le rôle de la femme. Ce jour là, elle m’a féminisé, maquillé puis m’a fait faire le ménage en jupe, sans culotte évidement, avant de me sauter dans la cuisine avec le gode ceinture. Je lui ai bien rendu son petit délire la semaine suivante, en la sautant sans préliminaire en bloquant sa tête dans l’évier de la cuisine. Je lui avais acheté une tenue de soubrette sur un site chinois, elle n’a hélas servi qu’une fois, la qualité n’était pas au rendez-vous.

Je m’égare mais cela vous donne une idée de nos jeux coquins. Venons-en à Locktober et à ma cage de chasteté.

Elle a découvert ça sur le forum chasteté de Fessestivites et m’en a parlé avec des yeux brillants, une de ses mains câlines sur la cuisse l’autre sous sa jupe. Je n’étais pas chaud pour rester chaste pendant un mois, ni de porter la cage de chasteté H24. Mylène sait être très convaincante...

Quand elle a une idée derrière la tête, ma belle ne lâche pas le morceau, tant qu’elle n’arrive pas à obtenir ce qu’elle veut. J’ai donc fini par céder après des négociations de principe. J’ai accepté à condition qu’elle soit mon esclave une semaine. La négociation fut rude car au départ, elle portait sur un mois, j’ai obtenu une semaine ce qui est déjà pas mal avec cette négociatrice perverse.

Le premier octobre, j’ai eu droit à une fellation de folie, la gloutonne s’est ensuite empalée sur moi en me disant qu’elle voulait en profiter tant « qu’elle était dispo »... La chose faite, un orgasme pour moi et trois pour elle, elle m’a aidé à mettre ma cage de chasteté The Snake puis a fermé le cadenas à combinaison. En effet, ce cadenas me permettrait de me libérer seul en cas d’urgence sur un simple appel téléphonique.

La première nuit, j’ai mal dormi et le lendemain matin, je me suis rendu aux urgences (les toilettes) pour vite + vite faire un petit pipi pour casser l’érection m’arrachant presque les précieuses. Bon j’exagère un peu mais il y a quand même de l’idée. Et, à mon retour au lit, cette garce de Mylène n’a rien trouvé de mieux que de prendre mon sexe emprisonné dans sa main pour le consoler et, lui faire des petits bisous à travers les barreaux de la cage....

Comme ses règles venaient de débarquer, j’ai échappé au broutage de chaton, non pas que cela me déplaise, mais parce qu’une érection aurait à nouveau tiré sur mes précieuses. Finalement, quand les anglais débarquent, cela a parfois du bon, puisque j’ai été épargné quelques jours. Pourquoi je dis « épargné » ?

Parce qu’une fois que les anglais sont partis, j’ai du officier de la langue et des doigts pour l’accompagner dans ce qu’elle a appelé « compensation » pour privation de bonne bite. Ce fut chaud ! ! ! Au bout de dix jours, les érections douloureuses du matin avaient quasiment disparues, pour faire place à des crises d’excitation monumentales, même au bureau ! J’en suis arrivé à frotter mes fesses sur mon fauteuil, c’est dire dans quel état j’étais.

Lors du deuxième week-end, Mylène avait décidé que nous serions deux lesbiennes non stop pendant deux jours. En clair, elle m’a féminisé deux jours et, ce qui m’a « gonflé grave », c’est de devoir porter un soutien-gorge pendant la journée. Ce truc est inconfortable et démange. Comme je râlais, elle m’a menacé de m’acheter un corset. Cela calme !

Par contre, questions câlins, jeux de sextoys et de godes, ce fut Byzance parce qu’après 15 jours de cage de chasteté H24, tout est bon ! Nous nous sommes bourrés le fion à tour de rôle et j’ai bien failli jouir quand elle me sautait au gode ceinture. La sauter au gode ceinture alors que j’étais sous cage de chasteté, fut un moment difficile pour moi. En effet, la cage se balançait à chaque coup de rein qui, hormis son plaisir, ne m’apportait rien !

Le troisième week-end Mylène avait décidé que je devais être un homme « comblé ». Ne pensez pas qu’elle avait décidé de m’accorder une pause pendant Locktober, non, non, elle a tenu à ce que j’ai toujours quelque chose dans les fesses. Elle m’a même fait porter le plug queue de chienne pendant toute la deuxième journée. Si bien, qu’il a fallu qu’on le retire pour cause d’irritation. Et pour cause, elle a voulu qu’on aille marcher pour prendre l’air. Et cette garce s’amusait à soulever mon tee-shirt pour que l’on voit le bout de la queue qui dépassait de mon pantalon. Au retour, les frottements avaient presque ouvert la peau entre mes fesses.

La quatrième semaine, Mylène est partie trois jours en mission à Tombouctou les bains, en me laissant seul avec mon désespoir, pardon ma cage de chasteté. Ce fut difficile et, pour compenser mes « crises de manque », j’en suis arrivé à faire du selfbondage, me mettre des trucs dans les fesses et même, faire du ménage avec des pinces à sein. C’est dire dans quel état j’étais. C’est à cette période que j’ai commencé à parler à ma cage de chasteté en lui disant des mots pas très gentils.

Lorsque ma belle, ma puce, mon amour, ma salope de keyholder est rentrée, elle a tenu à ce que l’on face un gros câlin avant que.... Avant que ses règles arrivent. En guise de gros câlin, j’ai du lutiner son bouton de rose intime avec, en même temps, des doigts fouineurs de marécage quasiment spéléologues. Dans un sens, cela me plaisait bien qu’elle soit en manque de moi même si j’aurai préféré « la crucifier » sur le lit, la culbuter par dessus le canapé ou à quatre pattes par terre en aboyant. (Quand je dis que je devenais dingue)

Ceux qui ont inventé Locktober sont des masos. En effet, le mois d’octobre fait 31 jours, ils auraient pu faire le Septober ou le novtober qui sont des mois à 30 jours ! ! !

Et bien le 31 au soir, quand après ma douche, intégralement nu j’ai présenté mon sexe prisonnier à madame en lui disant que cela allait être sa fête, elle a soulevé sa jupe pour me faire voir qu’elle avait mis un pants. (Pants = sorte de culotte couche) En clair elle avait ses règles et comme elles sont abondantes, elle met une protection.

Je lui ai dit que ce n’était pas grave, que je prendrais le petit chemin boueux. Elle a refusé, hélas, car pendant ses périodes, elle a aussi mal au ventre et refuse tout. Devant mon air déconfit, ma mine triste et mes joues blêmes, elle a accepté de me faire une fellation de « compensation ».

Ce fut décevant ! Non pas que Mylène n’aime pas ça, au contraire, elle aime jouer avec sa poupée de chair, mais parce que je suis venu en moins d’une minute ! J’arrive à me contenir en temps normal, mais là, c’est parti presque tout seul. Décevant !

Pendant sa semaine d’esclavage, je me suis « vengé » en lui interdisant de jouir. Cela n’a marché qu’un temps, au troisième jour elle a joui très + très vite quand je l’ai culbutée et sodomisée dans la cuisine. Cette faute grave lui a valu une bonne fessée !

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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